Saturant la ville, la signalétique est un dispositif informatif fonctionnant par protocoles et générant des automatismes chez les usagers.
Il s’agit ici de perturber ces habitudes de comportements et de modifier les interactions entre le spectateur et la ville par des interventions sur les feux de signalisation routière, créant ainsi des espaces à la fois absurdes, énigmatiques et décalés.
En jouant avec la symbolique colorimétrique et rythmi-
que des feux de circulation, on découvre à chaque croisement une nouvelle configuration, absconse d’un point de vue fonctionnel mais porteuse de situations surprenantes et signifiantes.
Une lente plongée vers le monochrome. La proposition de NNL-CS est celle d’une traduction de la définition d’un paysage. Ici présenté sous forme de jeu vidéo où le gameplay est l’errance, le projet, à mon sens, est une recherche de l’essence du paysage et donc de sa propre disparition.I
l n’y a pas de progression vers l’abstrait dans NNL-CS, on ne revient pas en arrière, la question posée et l’esthétique de base relève directement de l’abstrait.
L’abstraction comme environnement.L’interactivité ne rend pas modelable l’environnement, elle le rend changeant, elle donne la possibilité à une bichromie d’une simplicité minimale de changer tout le temps; la rapprochant du virtuel.
L’idée impossible de neverneverland est que l’on peut “simuler” , et en ce sens expérimenter l’idée la plus basique d’un paysage.Le procédé agit ainsi non pas comme révélateur d’espace, mais bien comme une sorte d’anti-espace, un piège de simplicité. Le but du jeu serait alors de percer l’architecture de ce non-espace est ainsi de traduire le jeu lui-même.
Je pense voir là la zone d’existence de neverneverland, une petite structure en surfaces et en couleurs, fragilement assemblée, toute proche du vide.
Exposition N-1
du 15 au 30 Novembre
Bat 335, Rue remy Annino
72000 ST-ETIENNE FRANCE
«Le mot n’était pas Nerverland.
Le mot était Nevernerverland.
Nerverneverland était l’endroit où allaient les garçons perdus.
Pas Nerverland, mais Neverneverland.» Bret Easton Ellis
Les artistes: Alan Vega, Antony, Bent van Looy (Das Pop), Bianca Casady (Cocorosie), Brian Eno, Chicks on Speed, David Byrne, Devendra Banhart, Fischerspooner, Jonsi Birgisson (Riceboy Sleeps), Kembra Pfahler, Kyle Field, Laurie Anderson, Miss Kittin, Nick Zinner (Yeah Yeah Yeah’s), Patti Smith, Pete Doherty, The Kills, The Residents et Yoko Ono !
Festival Arts vivants et nouvelles technologies
Saint-Médards-en-Jalles www.carredesjalles.org
La place de l’Homme, par ses nouveaux prolongements technologiques et par sa situation au sein d’un monde globalisé, est en pleine mutation.
Nombreux sont les artistes à s’emparer de cette problématique, un certain nombre en utlisant les nouvelles technologies au coeur de leur propos et de leur écriture scénique.
Pendant 5 jours, des spectacles hybrides, des performances étonnantes et des installations multimédias ludiques envahiront tous les espaces du Carré des Jalles de 18h à minuit.
LES INSTALLATIONS
> PRÉSENCE de Tino Toneloto / Cie Miror > installation intéractive / performance > LE NHILOGLOSSAIRE de Grégoire Lauvin et Pascal Chirol
d’après l’ouvrage de Stefan Ansermet > DYPTIQUE MULTIMÉDIA résultant du Parcours danse et multimédia > A BAND IN A PHONE clip du concert de Zita Swoon
au Carré des Jalles le 21 mars 2008 capté par téléphones portables. > LE POTAGER USB de Maël Le Mée > LES MECANIQUES POETIQUES d’Ez3kiel > “MOVING BY NUMBERS” de Wolf Ka
[…]
De l’hypnose à l’éblouissement, on s’achève avec « Pop up - Never Never Land » proposée par Yannis Perez, Pascal Chirol et Grégoire Lauvin. Un ciel, un soleil, c’est plutôt simple et réussi. Plus le spectateur s’approche, plus le soleil s’illumine… proposant la pièce certainement la plus poétique de l’exposition, la lumière qui éclaire, la lumière qui aveugle… Éblouissant !
L’installation interactive à l’invitation du cabinet des expériences de lux, « Pop up », de Yannis Pérez, Pascal Chirol et grégoire Lauvin, propose une expérience interactive de l’éblouissement…
…
L’installation est une représentation simplifiée à son maximum d’un espace sensible : l’horizon, le ciel et le soleil. L’installation est intéractive avec le public ; en fonction de la position d’un visiteur dans l’espace, le soleil brille différement. Plus l’on se rapproche du soleil, plus il nous aveugle.
…
… Journal_du_lux°_78.pdf Dossier de l’installation.pdf
Je doit avouer que grégoire a bien bossé sur cette carte de controle de puissance, capable de controler l’intensité du courrant 220v avec une puissance pouvant aller j’usqu’a 2000 w. Elle nous servira à controller une poursuite de théatre qui fait 1000w (autant dire beaucoup) pour l’exposition lumière au lux-valence. (dont vous aurrez bientôt pus d’info).En tous cas bravo c’est du trés bon bouleau !
Grégoire Lauvin, sound and bio artist, and Pascal Chirol, programmer artist, recently graduate at the “Ecole Supérieure d’Art d’Aix en Provence“.
Invited by “Seconde Nature”, a festival of art dedicated to new media and electronic arts, they colaborate to bring an original show, where new technologys mixed with humour and art.
Pascal Chirol creations involved software art and net art. He is as well interseted in robotics and works with Grégoire Lauvin, who experiment interactions between electronic systems and alive organism like vegetals. The result of their collaboration is surprising realisations totaly un-seen in contemporany art.
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/////////////////////////////////////////////////////////////////// WIND DRAWS
Pascal Chirol http://updatepixels.net
The installation here, is a wind space made of 15 fans in circle.
Some drawing object is use like « Analogic Reactif Protocol », something like a boat “sailing pen”, which is drawing on a paper pushed by the wind.
The fans are controled by a software I build in Processing (project : Wind Earth) and a microcontroler. So, every fan is blowing world wind from data network, using the datas to make a live analogic randomnes.
This installation is asking the question of artist creation and is action.
Where take place author & creation ? How art is build ?
Which are the borders of art : How are they given ? by who ?
BioOsc is a sound generative installation that use plants as electronic parts.
The sound produce is generated by sixteen basic oscillators. But, each of them is pluged to a couple a leaf who act like emectronic parts, and so tune the fraquency.
As the leafs get dry, the sound change and slowly die.
The sound change very slowly over time, sometime quick enouth to be ear.
The piece is over when all of them are dead, and the sound is barely audible, the pitch getting higher.
The time of this process depend of the type of plants used, the weather condition, ect.
Because the system is very sensitive, when somebody touch the leaf, it cause the tune to change, allowing visitor to play and interac directly with the piece.
The purpose is to made a technologic system and alive things work together, porducing an original sound, and opening new area for bio-art.
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/////////////////////////////////////////////////////////////////// Hyperonyme (work in progress)
Pascal Chirol http://updatepixels.net
An “Hypernymy” is the semantic relation from a word to another, the first one, more general, include the extention of the second one, more specific, in the relation of class tu subclass.
The first one is so the hypernym of the second one.
This software generate graphic representation of the internal folders and files structure of an hard drive.
It is important to mention that the amont of datas on the hard drive is taken as several different parts disolve one the magnetic substrac. The graphic representation is so more an graphic interactivity than a alternative navigation.
A work in progress to get an other visual of my computer data.
Je suis fier d’être invité a exposer WindEarth & Wind Draws dans le cadre de Seconde Nature.
Mais je pense travailler sur le projet HyperFolder, et proposer une version florale d’arborescence de disque dur. Pour commencer le mien, mais j’aimerais ensuite demander aux autres artistes de l’expo.
Exposition intéressante, la rencontre avec les artistes Portugais fut un échange formidable.
Leur accueil est très chaleureux et leur pays a du charme.
Merci pour ces vacances agréables.
Je tiens à annoncer l’obtention de mon DNSEP
(Diplôme National Supérieure d’Étude Plastique)
Mon champ de réflexion et d’expérimentation trouve son point de départ dans un questionnement du graphisme. Mais la notion de graphisme doit être comprise ici davantage comme un univers de potentialités que comme un espace déterminé par des contraintes sociales, professionnelles ou de communication. Ici, le graphisme est une façon de développer une pratique artistique multiforme, c’est un vocabulaire dont l’usage peut s’étendre indéfiniment, un mode d’action dont le terrain de jeu s’égaye sur les territoires les plus divers.
Mes préoccupations tournent essentiellement autour des questions de générativité. Et cette fois encore la notion de générativité doit être comprise de façon large, incluant à la fois des programmes génératifs et des situations bricolées où les tourbillons du vent, qu’il soit naturel ou artificiellement produit par des ventilateurs, génèrent à l’envie du dessin. La générativité est alors moins un enjeu technologique qu’un champ d’expérimentation ironique et critique.
Il s’agit d’inventer des situations et de se laisser surprendre par ce qui en sortira, entre calcul et humour. Il s’agit aussi d’interroger le geste artistique et le place de l’auteur. Les propositions sont nombreuses et inventives et les terrains qui sont investis vont du site web à l’affiche, de l’installation à l’intervention dans l’espace public, de la programmation au dessin à la plume.
Même s’il se trouve que c’est un gobelet en plastique qui tient la plume.
Vous avez participé au Web flash festival en soumettant l’une de vos oeuvres “EasyDesign.fr”. Aujourd’hui, les votes de notre jury professionnel sont terminés et les résultats sont publiquement diffusés sur le site.
Nous tenons à vous féliciter puisque vous faites partie de la sélection du jury ! Celui-ci a choisi parmi quelques 400 contributions, 3 oeuvres par catégorie, dont la vôtre !
Les oeuvres finalistes seront, elles, connues le dimanche 27 mai au soir (lors de la soirée du festival). D’ici là, le jury revotera, ainsi que le public qui désignera le Prix du public sur notre site.