http://www.ecole-art-aix.fr/article4089.html
Le mur communicant est un dispositif collectif d’exploration et de découverte. Il s’agit d’un grand écran interactif. Grâce à son système de capture « multi-touch » on peut littéralement toucher l’image et en modifier ainsi son contenu. Le mur récolte des informations depuis de multiples sources (téléphone, Internet, capture vidéo, borne de saisie, etc) et les re-transforme en des visualisations tactiles. De cette façon le mur n’est pas hermétique ; au contraire il s’agit d’un carrefour d’informations, d’une carte temps-réel qui simplifie et rend tangible certaines informations et relations complexes (locales/globales) qui seraient trop difficiles à représenter sur l’espace réduit d’un ordinateur personnel ou d’un ordinateur de poche (smartphone). C’est un mur/écran urbain, qui crée des relations informationnelles adaptées à l’échelle du corps humain et qui relie des corps à leurs territoires.
Ici, j’ai fait une recherche sur un lecteur de flux rss… Il s’agit de permettre a toute institution de pouvoir s’approprier le mur multitouch et de pouvoir facilement mettre a jour les données. Ainsi un simple blog fournissant un flux rss permet de visualiser ces informations sur le mur.
D’un point de vue conceptuel, il s’agit de plier et replier les “colonnes” du flux qui sont ici classé par année (mai peuvent l’être par tag).
Il s’agit néanmoins d’une maquette (fait dans la semaine), que j’aimerais beaucoup poursuivre plus amplement !
Enjeux et opportunités de la mutation du réseau social numérique vers la mobilité.
Contenu et objectifs
Sous l’influence d’évolutions technologiques convergentes (migration de l’internet vers la mobilité et haut débit/connexion permanente, traçabilité d’activités, nouvelles modalités/ nouveaux canaux de communication, flux organiques, liens sociaux, localisation sociale, radars sociaux, interfaces tangibles), l’identité numérique mobile connait une mutation profonde et rapide.
La structure tacite ou explicite, les flux, les patterns émergents et les représentations qui qualifient cette identité sont à définir pour adresser une dynamique sociale plus complexe, et de nouvelles typologies d’usages qui restent à codifier afin de rendre cette nouvelle dynamique riche et désirable.
- quels sont ses nouveaux constituants (inclus les liens sociaux) ?
- comment les gérer ?
• Communication et partage, nouvelles formes émergentes :
- quelles articulations possibles/désirables ? (fragmentation/multi-canaux/multi-modalité, cercles sociaux/radar social/visibilité/traçabilité/proximité/stratégies (amoureuses par exemple), phases de mobilité)
- comment créer de nouvelles opportunités de connexion et augmenter notre réalité sociale courante ? (moi/nous/le monde (le monde était constitué de personnes, lieux, objets, données, méta-données)
- comment le système supportera la curiosité et le hasard ?
- qu’est-ce qui sera partageable ?
• Nouvelles représentations
- comment représenter les nouveaux flux, et leurs éventuelles notifications ?
- comment résoudre le conflit trace/mémoire ?
- comment représenter les nouvelles règles sociales émergentes, l’intimité, la disponibilité, le visible/invisible et autoriser le mensonge ?
- quel héritage numérique ?
Finalité
Une suite de prototypes interactifs (formes à définir, application téléphonique, objet communiquant, jeux vidéo, vêtement « intelligent »…), publication et colloque à l’Ensad.
Modalités
- Chaque thématique de recherche sera construite et articulée sur un modèle ‘UCD’ (User Centred Design) ;
- ce processus sera construit de façon itérative et s’articulera autour de l’observation, l’analyse et la modélisation, l’expérimentation, et le prototypage ;
- pour valoriser un travail en équipe, une attention particulière sera portée à rechercher une complémentarités dans les thématiques abordées entre les étudiants.
Passerelles
Afin de renforcer une vision transverse et un travail collaboratif, un lien sera fait avec les autres programmes de l’Ensad qui traitent des enjeux de la communication et de la mobilité, notamment sous la forme de sessions de workshop.
Saturant la ville, la signalétique est un dispositif informatif fonctionnant par protocoles et générant des automatismes chez les usagers.
Il s’agit ici de perturber ces habitudes de comportements et de modifier les interactions entre le spectateur et la ville par des interventions sur les feux de signalisation routière, créant ainsi des espaces à la fois absurdes, énigmatiques et décalés.
En jouant avec la symbolique colorimétrique et rythmi-
que des feux de circulation, on découvre à chaque croisement une nouvelle configuration, absconse d’un point de vue fonctionnel mais porteuse de situations surprenantes et signifiantes.
« Dans un tourbillon de poussière qu’élève un vent impétueux ; quel qu’il paraisse à nos yeux, dans la plus affreuse tempête excitée par des vents opposés qui soulèvent les flots, il n’y a pas une seule molécule de poussière ou d’eau qui soit placée au hasard, qui n’ait sa cause suffisante pour occuper le lieu où elle se trouve, et qui n’agisse rigoureusement de la manière dont elle doit agir. Un géomètre qui connaîtrait exactement les différentes forces qui agissent dans les deux cas, et les propriétés des molécules qui sont mues, démontrerait que, d’après les causes données, chaque molécule agit précisément comme elle doit agir, et ne peut agir autrement qu’elle ne fait. »
— Paul Henri Thiry d’Holbach, Système de la nature
LandScape landscape = setLandScape();
Atmosphere air = setAtmosphere();
Sun sun = new SunSet();
Sky sky = setSky();
Love myGirl = Me.getMyLove();while(sun.isAvailable){
Well, here a demonstration of my EasyGUI librarie (that I will probably publish a day) to easly create graphical interface. First I had create this lib based on a 2D use(like swing) to easly create button (never had show demo) for processing (cause if found the existing GUIlib very un-usable and not skinable) - (Most of studients code the gui themself to have specifique rendering), thats why I was thinking about easy implementation of object with Interface to skin event and drawing on it, http://easydesign.fr/easygui/ -hold version-.But 2 weeks ago I had started to implement my VBO research to this lib.
It produice a 3D environnement with more than 1 Million of object in space (here no change between VBO research - see previous post-). So I had extend the mouse of the lib to a 3DMouse listener to performe 3D hit test on objects. Now it result 200000 interactives 3D objects (-more it’s gone under 58 fps-)….
Fabulous….Well, that was the technical part of my research, I sure have to work more on it but I’m already exited with the idea to implements more rendering, easy shader…, and to finaly be able to build project based on that (like Hyperonyme)
Une lente plongée vers le monochrome. La proposition de NNL-CS est celle d’une traduction de la définition d’un paysage. Ici présenté sous forme de jeu vidéo où le gameplay est l’errance, le projet, à mon sens, est une recherche de l’essence du paysage et donc de sa propre disparition.I
l n’y a pas de progression vers l’abstrait dans NNL-CS, on ne revient pas en arrière, la question posée et l’esthétique de base relève directement de l’abstrait.
L’abstraction comme environnement.L’interactivité ne rend pas modelable l’environnement, elle le rend changeant, elle donne la possibilité à une bichromie d’une simplicité minimale de changer tout le temps; la rapprochant du virtuel.
L’idée impossible de neverneverland est que l’on peut “simuler” , et en ce sens expérimenter l’idée la plus basique d’un paysage.Le procédé agit ainsi non pas comme révélateur d’espace, mais bien comme une sorte d’anti-espace, un piège de simplicité. Le but du jeu serait alors de percer l’architecture de ce non-espace est ainsi de traduire le jeu lui-même.
Je pense voir là la zone d’existence de neverneverland, une petite structure en surfaces et en couleurs, fragilement assemblée, toute proche du vide.
Exposition N-1
du 15 au 30 Novembre
Bat 335, Rue remy Annino
72000 ST-ETIENNE FRANCE
«Le mot n’était pas Nerverland.
Le mot était Nevernerverland.
Nerverneverland était l’endroit où allaient les garçons perdus.
Pas Nerverland, mais Neverneverland.» Bret Easton Ellis
382 756 File&folder on my hard drive has been push in the graphic card (all the universe is build in 2 m)
Reste to explore my drives with a free camera…beautifull !
Fantastic book…
It’s a history of computing design starting at the begining… giving great traces of history with pioneer interviews, meaning, pictures…
It’s give with a great dvd where you find sumury of the book, and you get the video of the interview… (realy great for students…)
Do you know the mouse was designed to follow curved walls (architecture) and calculed distance ?! haaaahaaaaa !!!! coool…. !
I will ask the geeks ?
How do you draw 1 Million vertex, 60 times for a second with processing ?
Befor i was responding that’s impossible… and i was so much frustred by that…I’m really exited to have found the powerfull Opengl draw methode…
Stop using pushMatrix() and drawing methode…
I will use a metaphor : Imagine you want to send something to another country… here country are hardware and something are vertex.
How do you process it ? Like it’s explain in the processing manual is :
From the Cpu (processor) put a vertex in an aircraft, send it to the Gpu (graphic card), and send it to the screen…
Well, now if i want to send 1000 vertex… will you send it one by one… then you have an aircraft with 1000 places. And the trick go more far… You just need to send it one time, and after just call the graphic card to send it to the screen.
So like geek we are, we call the Gpu 1000 task to draw the buffer.That is call the VertexBufferObject…
Les artistes: Alan Vega, Antony, Bent van Looy (Das Pop), Bianca Casady (Cocorosie), Brian Eno, Chicks on Speed, David Byrne, Devendra Banhart, Fischerspooner, Jonsi Birgisson (Riceboy Sleeps), Kembra Pfahler, Kyle Field, Laurie Anderson, Miss Kittin, Nick Zinner (Yeah Yeah Yeah’s), Patti Smith, Pete Doherty, The Kills, The Residents et Yoko Ono !
STORK Fokker Elmo est une société qui conçoit et produit le câblage électrique pour les avions de tout type. Survivante de la faillite de Fokker, le légendaire constructeur d’avions hollandais.Clients: Airbus, Boeing, Nasa, Hawker, Lockheed Martin et autres avionneurs…
Employé comme Ingénieur, Directeur Artistique chargé de la conception d’interface des logiciels internes au sein du département innovation & technologie.
Le secret industriel ne me permet pas d’en dire plus.
Festival Arts vivants et nouvelles technologies
Saint-Médards-en-Jalles www.carredesjalles.org
La place de l’Homme, par ses nouveaux prolongements technologiques et par sa situation au sein d’un monde globalisé, est en pleine mutation.
Nombreux sont les artistes à s’emparer de cette problématique, un certain nombre en utlisant les nouvelles technologies au coeur de leur propos et de leur écriture scénique.
Pendant 5 jours, des spectacles hybrides, des performances étonnantes et des installations multimédias ludiques envahiront tous les espaces du Carré des Jalles de 18h à minuit.
LES INSTALLATIONS
> PRÉSENCE de Tino Toneloto / Cie Miror > installation intéractive / performance > LE NHILOGLOSSAIRE de Grégoire Lauvin et Pascal Chirol
d’après l’ouvrage de Stefan Ansermet > DYPTIQUE MULTIMÉDIA résultant du Parcours danse et multimédia > A BAND IN A PHONE clip du concert de Zita Swoon
au Carré des Jalles le 21 mars 2008 capté par téléphones portables. > LE POTAGER USB de Maël Le Mée > LES MECANIQUES POETIQUES d’Ez3kiel > “MOVING BY NUMBERS” de Wolf Ka
Nous étions en résidence !
Pascal Chirol & Grégoire Lauvin
Nous avons passé une semaine en résidence pour la réalisation d’une commande d’aprés l’ouvrage “LE Xyloglossaire” de Stefan Ansermet
- Je voudrais alors citer “Cent mille milliards de poèmes” de Raymond Queneau ! -)
Pour moi la résidence a surtout été un moyen d’avoir un avis sur le système (1er résidence), mais aussi de passer un peut de temps avec gregoire pour faire de la recherche sur des trucs de geek… Nous avons à nouveau échangé beaucoup !
A web-site will show “Hyperonym” as the month’ work.
So I build a new version of Hyperonym.
I include a camera tracker folder and some graphical user options.
However it is always a research version
(with some bugs, i think), but try to have fun !
http://www.observatoire-critique.org/oeuvre.php3
Créer une infinité d’œuvres en ne faisant rien. Rêve d’artiste paresseux, ready made de l’ère technologique ou outil ludique pour maladroits du crayon ? Sur le Net, des logiciels permettent de produire d’un clic («Try», «Create», etc.) et en quelques secondes une volée de créations graphiques. Le résultat n’est pas toujours heureux, des fois franchement moche, mais ça n’est pas grave car le processus est fait pour être renouvelé :«Try again».Si la littérature est, depuis des années, passée à la moulinette des dispositifs génératifs, notamment avec Jean-Pierre Balpe, la démarche est plus récente et moins théorisée dans le graphisme. Il s’agit avant tout d’expérimentations isolées, par exemple Easy Design, un logiciel très facile à utiliser, conçu par Pascal Chirol et Yannis Perez. En ligne ou à télécharger, il permet de générer des images en choisissant parmi une vingtaine de styles thématiques («Suisse», «Pixel», etc.), et de grands noms artistiques : Matisse, Paul Cox et John Maeda (un des plus réussis). On peut aussi sélectionner la forme de l’image (rond, pochette de CD, culotte…). Une fois l’image générée, on peut manipuler ses paramètres (couleurs, taille, position…) ou en lancer une nouvelle. Dans un texte détournant la Critique de la séparation de Guy Debord, Pascal Chirol explique : «Ce dont Easy Design parle, est cette imitation insensée, d’une vie insensée. Une ritournelle ingénieuse à ne rien dire. Habile à tromper une heure l’ennui, par le reflet du même ennui. Cette imitation, qui est la critique du présent et le faux témoin de l’avenir, qui par beaucoup d’algorithmes et de grands calculs, ne fait que se consumer en amassant des images que le temps emporte.»
Après les générateurs d’art à la Pollock, à la Picasso, ou simplement moderne, le design est également à portée de souris de chacun avec Easy design, un logiciel conçu par Pascal Chirol et Yanis Perez.
En ligne ou à télécharger, le logiciel donne accès à une banque d’images, mais surtout à une palette de styles pré-déterminés mais paramétrables. Une vingtaine de styles thématiques (« Suisse », « Pixel », « Blaster », « 2000 in 80’ », etc.), mais aussi de grands noms artistiques : Matisse, Paul Cox et, le plus intéressant, John Maeda. Le logiciel est ouvert, et chacun peut contribuer en créant son propre cahier de tendances.
Pour Luc Dall’Armellina, Easy design est « une base de connaissance en design, jouable et crédible en même temps qu’un outil pédagogique et critique novateur. (…) Il pousse chaque style dans ses retranchements, jusqu’au maniérisme, jusqu’à l’outrance, mais parfois aussi au seuil du distinctif. » […]
[…]
Easy design : Générateur de graphisme
Outil d’amateurs ou jouet pour graphistes, le générateur de graphisme Easydesign met à la portée de tous la « création » graphique. Disponible gratuitement sur Internet, le logiciel inventé et conçu par Yannis Pérez et Pascal Chirol met à la disposition de son utilisateur une banque d’image ainsi qu’une palette de styles et de formes graphiques « Suisse », « Ethnic », « Pixel » ou « logo ». Mais la véritable particularité de l’application est d’intégrer des styles personnels de graphistes et d’artistes : John Maeda, Paul Cox ou Matisse. Si certains graphistes n’ont pas apprécié la vulgarisation de leur style et en ont demandé le retrait du logiciel, d’autres comme John, Maeda ont encouragé l’initiative. Ci dessous : quelques exemples d’utilisation de Easy design. […]
Processing, Creative Coding and computation Art
Ira Greenberg
Trés bon livre avec un trés bonne introduction sur l’histoire de l’art numérique.
Une approche en douceur du code avec des contenus poussés. Des exemples des formules mathématiques les plus courrantes (je vais enfin arrêter de m’arracher les cheuveux sur des cosinus).
Je regrette néanmoins une petite approche java pour aller encore
plus loin !
Processing, A Programming Handbook for Visual Desingners and Artists
Casey Reas & Ben Fry
Moins interressant que celui de Ira Greenberg, il va moins loin dans la complexité du code. De nombreux vocabulaires sont oubliés. Presque aucune référence à l’histoire de l’art.
Cela ressemble à du copier-coller des références du site processing.
Le seul petit plus serait une approche de l’éléctronique et de Arduino, mais cela reste trop faible pour être interressant.
Je suis deçus !
Visualizing Data
Ben Fry
Celui-ci ne rigole pas ! Déconseillé au débutant, car il n’y a aucune introduction au code.
Le livre traite essentiellement de représentations de données entre elles.
Très intéressant.
Cela ressemble néanmoins a de la glorification de projet personnel. Regardez comme je suis fort, mais qui n’a pas révé de voir les codes source de “Ben Fry” !?
Physical Computing
Dan O’Sullivan
Une approche très en douceur de l’électronique jusqu’à un niveau poussé.
Dommage que les codes soient essentiellement en basic avec des microcontroleurs.
Excellent !
Making Things Talk
Tom Igoe
Bon livre, je regrette le manque d’explications sur le pourquoi du comment on fait comme cela ainsi que de références à l’histoire de l’art.
Néanmoins, son atout est de parlé essentiellement en arduino. Il devient alors un complément indispensable à “Physical Computing” qui fait de ces deux livre une mine d’or !
[…]
De l’hypnose à l’éblouissement, on s’achève avec « Pop up - Never Never Land » proposée par Yannis Perez, Pascal Chirol et Grégoire Lauvin. Un ciel, un soleil, c’est plutôt simple et réussi. Plus le spectateur s’approche, plus le soleil s’illumine… proposant la pièce certainement la plus poétique de l’exposition, la lumière qui éclaire, la lumière qui aveugle… Éblouissant !
L’installation interactive à l’invitation du cabinet des expériences de lux, « Pop up », de Yannis Pérez, Pascal Chirol et grégoire Lauvin, propose une expérience interactive de l’éblouissement…
…
L’installation est une représentation simplifiée à son maximum d’un espace sensible : l’horizon, le ciel et le soleil. L’installation est intéractive avec le public ; en fonction de la position d’un visiteur dans l’espace, le soleil brille différement. Plus l’on se rapproche du soleil, plus il nous aveugle.
…
… Journal_du_lux°_78.pdf Dossier de l’installation.pdf
J’ai du me mettre a pure data pour gérer les webcams de l’installation pour l’exposition lumière au lux-valence. Cela n’a pas était si dure que sa… la preuve j’ai un patch bien complex (avec plein de sous patch) qui permet le tracking sur chaque web cam, et qui communique les infos a un arduino, qui lui controle alors à la carte de puissance faite par grégoire (article suivant).
Je doit avouer que grégoire a bien bossé sur cette carte de controle de puissance, capable de controler l’intensité du courrant 220v avec une puissance pouvant aller j’usqu’a 2000 w. Elle nous servira à controller une poursuite de théatre qui fait 1000w (autant dire beaucoup) pour l’exposition lumière au lux-valence. (dont vous aurrez bientôt pus d’info).En tous cas bravo c’est du trés bon bouleau !
C’est finalement pas si compliqué !
Il suffit de relier le 5v, la masse, le TX sur le RX de l’arduino principal vers le deuxieme. Et Hop !
Le code non plus n’est pas compliqué, il sagit simplement d’une communication série !
Grégoire Lauvin, sound and bio artist, and Pascal Chirol, programmer artist, recently graduate at the “Ecole Supérieure d’Art d’Aix en Provence“.
Invited by “Seconde Nature”, a festival of art dedicated to new media and electronic arts, they colaborate to bring an original show, where new technologys mixed with humour and art.
Pascal Chirol creations involved software art and net art. He is as well interseted in robotics and works with Grégoire Lauvin, who experiment interactions between electronic systems and alive organism like vegetals. The result of their collaboration is surprising realisations totaly un-seen in contemporany art.
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/////////////////////////////////////////////////////////////////// WIND DRAWS
Pascal Chirol http://updatepixels.net
The installation here, is a wind space made of 15 fans in circle.
Some drawing object is use like « Analogic Reactif Protocol », something like a boat “sailing pen”, which is drawing on a paper pushed by the wind.
The fans are controled by a software I build in Processing (project : Wind Earth) and a microcontroler. So, every fan is blowing world wind from data network, using the datas to make a live analogic randomnes.
This installation is asking the question of artist creation and is action.
Where take place author & creation ? How art is build ?
Which are the borders of art : How are they given ? by who ?
BioOsc is a sound generative installation that use plants as electronic parts.
The sound produce is generated by sixteen basic oscillators. But, each of them is pluged to a couple a leaf who act like emectronic parts, and so tune the fraquency.
As the leafs get dry, the sound change and slowly die.
The sound change very slowly over time, sometime quick enouth to be ear.
The piece is over when all of them are dead, and the sound is barely audible, the pitch getting higher.
The time of this process depend of the type of plants used, the weather condition, ect.
Because the system is very sensitive, when somebody touch the leaf, it cause the tune to change, allowing visitor to play and interac directly with the piece.
The purpose is to made a technologic system and alive things work together, porducing an original sound, and opening new area for bio-art.
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/////////////////////////////////////////////////////////////////// Hyperonyme (work in progress)
Pascal Chirol http://updatepixels.net
An “Hypernymy” is the semantic relation from a word to another, the first one, more general, include the extention of the second one, more specific, in the relation of class tu subclass.
The first one is so the hypernym of the second one.
This software generate graphic representation of the internal folders and files structure of an hard drive.
It is important to mention that the amont of datas on the hard drive is taken as several different parts disolve one the magnetic substrac. The graphic representation is so more an graphic interactivity than a alternative navigation.
A work in progress to get an other visual of my computer data.
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Many times, some friends asked me to have a speed SlideShow with 25 fps. And I always had to build it for there personal folder. So I decided to build a SlideShow Maker which scan your hard drive in order to get all images you need. So with this software you can put infinit pictures in a slide show, choose your fps for a simple render or to record a movie, with a high frequence in full screen. I hope they will be happy …
Get the Software
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An exemple of a recording with 20 fps
I’m working on Hard Drive representation for two weeks with processing (extend of my HyperFolder work). I built something like a scanner which is reading the structure of your folders and files, and I want to build an abstract representation of this architecture, to have an image of my computer, my virtual workspace. And maybe, later some image of your workspace (please send me capture, i will show them in exhibition)But there is a lot of possible representations, and I decided to build a flower tree for “Seconde Nature” exhibition in September at Aix-en-Provence.
I will have to work more on this project, but now, I have something to show…
Maybe, later, i will build a 2D representation for interactive way in your hard drive, because i don’t understand why there is nothink like science fiction on my OS. (and i can’t build interactivity in 3D)
Je suis fier d’être invité a exposer WindEarth & Wind Draws dans le cadre de Seconde Nature.
Mais je pense travailler sur le projet HyperFolder, et proposer une version florale d’arborescence de disque dur. Pour commencer le mien, mais j’aimerais ensuite demander aux autres artistes de l’expo.
Exposition intéressante, la rencontre avec les artistes Portugais fut un échange formidable.
Leur accueil est très chaleureux et leur pays a du charme.
Merci pour ces vacances agréables.
Aprés 8 heures de jeu vidéo avec Grégoire, c’est officiel ma carte graphique n’en peux plus…. Je me retrouve maintenant avec un ordinateur auto-bending ! Cool…. J’en ferai surement une pièce.
Je tiens à annoncer l’obtention de mon DNSEP
(Diplôme National Supérieure d’Étude Plastique)
Mon champ de réflexion et d’expérimentation trouve son point de départ dans un questionnement du graphisme. Mais la notion de graphisme doit être comprise ici davantage comme un univers de potentialités que comme un espace déterminé par des contraintes sociales, professionnelles ou de communication. Ici, le graphisme est une façon de développer une pratique artistique multiforme, c’est un vocabulaire dont l’usage peut s’étendre indéfiniment, un mode d’action dont le terrain de jeu s’égaye sur les territoires les plus divers.
Mes préoccupations tournent essentiellement autour des questions de générativité. Et cette fois encore la notion de générativité doit être comprise de façon large, incluant à la fois des programmes génératifs et des situations bricolées où les tourbillons du vent, qu’il soit naturel ou artificiellement produit par des ventilateurs, génèrent à l’envie du dessin. La générativité est alors moins un enjeu technologique qu’un champ d’expérimentation ironique et critique.
Il s’agit d’inventer des situations et de se laisser surprendre par ce qui en sortira, entre calcul et humour. Il s’agit aussi d’interroger le geste artistique et le place de l’auteur. Les propositions sont nombreuses et inventives et les terrains qui sont investis vont du site web à l’affiche, de l’installation à l’intervention dans l’espace public, de la programmation au dessin à la plume.
Même s’il se trouve que c’est un gobelet en plastique qui tient la plume.
Le Flash Festival au centre Pompidou, une des seules et des plus grande manifestations Françaises dédiées à la présentation d’oeuvres numériques sur le net, nous a encore une fois montré qu’il valait mieux faire démonstration des qualités du dernier logiciel Adobe, plutôt que de parler de ce qui se passe réellement sur le net, et des questions qui dépassent cette société du spectacle.
Il me semblait que les arts numériques en avaient définitivement fini avec les crétins du genre “Nous sommes cool, et internet est un bon moyen de se faire sucer partout dans le monde”.
Une interactivité pour elle-même n’engage qu’à la masturbation, qu’elle soit pseudo poétique ou purement technique. On se retrouve alors dans un système dépourvu de pensée, libre de sens et prêt à oublier.
Le grand prix de cette année, “Remake” faussement interactif et franchouillard de “Six Feet Under” mène simplement vers la misère symbolique d’une pseudo interactivité linéaire et narrative.
Un autre lauréat nous a aussi démontré la puissance de la technique du copier/coller, pour un résultat façon “Yugop”, suivie de la scandaleuse déclaration “Je n’ai rien à en dire, je vous montre”.
Voilà comment un système propriétaire formate la pensé en technique et rend aveugles ces croyants.
Mes yeux sont fatigués, la question du beau a déjà était détruite par Duchamp.
Et on nous prend tellement pour des cons, au point de présenter une performance interactive, ou l’interactivité c’est Quick Time qui joue une vidéo et les musiciens de la flute à bec.
C’est une grande mascarade et une évidente honte à l’art au coeur même de son institution.
Mon champ de réflexion et d’expérimentation trouve son point de départ dans un questionnement du graphisme. Mais la notion de graphisme doit être comprise ici davantage comme un univers de potentialités que comme un espace déterminé par des contraintes sociales, professionnelles ou de communication. Ici, le graphisme est une façon de développer une pratique artistique multiforme, c’est un vocabulaire dont l’usage peut s’étendre indéfiniment, un mode d’action dont le terrain de jeu s’égaye sur les territoires les plus divers.Mes préoccupations tournent essentiellement autour des questions de générativité. Et cette fois encore la notion de générativité doit être comprise de façon large, incluant à la fois des programmes génératifs et des situations bricolées où les tourbillons du vent, qu’il soit naturel ou artificiellement produit par des ventilateurs, génèrent à l’envie du dessin. La générativité est alors moins un enjeu technologique qu’un champ d’expérimentation ironique et critique.
Il s’agit d’inventer des situations et de se laisser surprendre par ce qui en sortira, entre calcul et humour. Il s’agit aussi d’interroger le geste artistique et le place de l’auteur. Les propositions sont nombreuses et inventives et les terrains qui sont investis vont du site web à l’affiche, de l’installation à l’intervention dans l’espace public, de la programmation au dessin à la plume.
Même s’il se trouve que c’est un gobelet en plastique qui tient la plume.
Vous avez participé au Web flash festival en soumettant l’une de vos oeuvres “EasyDesign.fr”. Aujourd’hui, les votes de notre jury professionnel sont terminés et les résultats sont publiquement diffusés sur le site.
Nous tenons à vous féliciter puisque vous faites partie de la sélection du jury ! Celui-ci a choisi parmi quelques 400 contributions, 3 oeuvres par catégorie, dont la vôtre !
Les oeuvres finalistes seront, elles, connues le dimanche 27 mai au soir (lors de la soirée du festival). D’ici là, le jury revotera, ainsi que le public qui désignera le Prix du public sur notre site.
J’ai bien avancé l’interface en processing, pas mal de problèmes malgré tout. Mais le rendu graphique est vraiment intéressant… Au début je cherchais à utiliser une map monde vectorielle… Mais une fois tous les points des 4421 stations météo posés suivant leurs latitude / longitude le résultat est suffisant.
Cette application que j’ai programmé, je vais la relier à mes ventilos pour leur fournir un random analogique temps réel.
Hihihiiii… trop bien….
En plus, je me suis bien fait chier pour que ça soit stable…
Bon j’ai encore un peu de travail graphique à faire… mais c’est déjà pas mal & sobre, il me semble ?
Bientôt des versions téléchargeables !
Semaine très chargée avec les diplômables… En tous cas ça s’est bien passé, j’ai encore besoin de travailler la mise en espace… Bien sûr également je dois finir mes programmes surtout -Wind Earth - (dont je posterai bientôt un truc ).
DDD : Exposition Lux. Scène nationale de Valence 28 mars -16 avril AAA : Colloque & Exposition École régionale des beaux-arts deValence
28 et 29 mars.
Le design graphique peut être défini comme le traitement formel des informations et des savoirs. Le designer graphique est alors un médiateur qui agit sur les conditions de réception et d’appropriation des informations et des savoirs qu’il met en forme. Intervenant dans un maillage complexe de relations — tissées notamment entre un lieu et son environnement, les informations et les médias, l’actualité et l’histoire, le commanditaire et les destinataires —, le designer opère du même coup sous une certaine menace, celle de son instrumentalisation, de sa réduction à la stricte codification des normes et des discours dominants. C’est pour mettre au jour et déjouer cette menace que plusieurs designers signèrent en 2000 le manifeste First Things First (D’abord l’essentiel) qui préconisait l’invention de‘formes de communication plus utiles, plus durables et plus démocratiques’. Dans le sillage de ce manifeste, ce colloque envisagera le design graphique comme un projet aux dimensions pragmatique, éthique et politique, en dialogue constant avec la pensée théorique et critique. Son ouverture internationale est à cet égard essentielle: la Hollande, la Suisse, les États-Unis, d’où sont issus plusieurs intervenants, sont parmi les pays où le design graphique est intégré dans la culture et, en particulier, dans celle des commanditaires. À ce titre, les designers graphiques invités constituent des références avec lesquelles il est possible d’enrichir une réflexion qui semble émerger en France.
Avec:
Madeleine Aktypi, Pierre Bal-Blanc, André Baldinger, Max Bruinsma, Anne-Marie Christin, Laurent Fétis, Luc(as) de Groot, Laurent Gutman,
Pierre-Damien Huyghe, George Legrady, Giovanni Lussu, Armand Mevis,
Philippe Millot, François Rappo, Monique Sicard, Catherine de Smet, Gerard Unger, Vier5.
J’ai enfin fini le hardware pour mon projet de dessin avec le vent.
Un Pic 18F458 (processeur de 40 MHz (40 000 actions/s) ) sur plaque me proposant 16 sorties pwm… J’ai quand même eu besoin de Laurent et Jean-Pierre (que je remercie), pour faire la conception du circuit, sinon, j ’ai tout soudé moi même ;-)
Je suis tout de suite passé sur processing pour me faire une interface de commande de mes ventilateurs via le port série usb…
Et c’est cool j’ai des diodes comme retour visuel, du coup je me suis amusé à faire le banal truc à la k2000 ;-)
“Repenser l’esthétique, pour une nouvelle époque du sensible”
Le 21 mars à 18H30, Salle Cartonnerie : conférence
Friche Belle de Mai - 41 rue Jobin - 13003 Marseille
“Notre époque se caractérise comme prise de contrôle de la production symbolique par la technologie industrielle, où l’esthétique est devenue l’arme et le théâtre de la guerre économique. Il en résulte une misère ou le conditionnement se substitue à l’expérience esthétique”. “Cette misère est une honte” rajoute Stiegler. Le processus pour échapper au contrôle du sensible et au conditionnement des esprits - l’anesthésie qui conduit à la misère symbolique - serait de rendre sa place à “l’expérience esthétique”, voie d’émergence de la singularité sensible, indispensable à la constitution de l’être social. C’est en analysant le circuit de cette expérience et les niveaux de la sensibilité, tout en prenant en considération le « tournant machinique de la sensibilité », que Bernard Stiegler s’essaie à repenser l’esthétique, et ébauche les concepts d’organologie générale et de généalogie du sensible. Pour une « nouvelle pensée de l’industrie à partir de l’expérience sensible », qui formerait une ultra modernité artistique et culturelle. Et pour l’établissement d’une société dans laquelle production symbolique et vie de l’esprit viendraient au coeur de la vie industrielle.
Bernard Stiegler :
Philosophe et directeur du développement culturel du Centre G.Pompidou, Bernard Stiegler a été directeur adjoint de l’INA, puis directeur de l’IRCAM. Ses recherches portent particulièrement sur l’impact social des medias et des technologies contemporaines. Il a fondé en 2005 l’association Ars industrialis, et dirige le séminaire “Trouver de nouvelles armes, pour une polémologie de l’esprit”.
Après 2 semaines de boulot intensif avec Yannis sur EasyDesign, puis une bonne semaine de fignolage perso… Nous y voilou enfin …
Je pense pouvoir dire que c’est enfin fini, mais je n’arrive pas a y croire… je bosserais encore et encore dessus, surtout que j’ai prévu de faire une version Processing cette été (de belle vacance en prévision…)Bref, j’invite a aller sur easydesign.fr
De la contamination de l’homme par la machine et inversement
Exposition du 28.02.07 au 28.04.07 à la galerie Léo Scheer
14-16 rue de Verneuil Paris 7°
Premiere Loi : Un robot ne peut ni porter atteinte à un être humain, ni rester passif devant un être humain exposé à un danger. Deuxiéme Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humain, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la première loi. Troisième Loi : Un robot doit protéger son existance dans la mesure où cette protection n’est pas en contracdiction avec la première ou la deuxième loi.
Manuel de la Robotique, 58° édition, 2058 ap. J.C. Isaac Asimov 1930
Les premiers essais de mes ventilos se montrent assez concluants pour une maquette… Après avoir soudé et préparé tout ça… Je suis enfin passé à l’amusement… Et voilou ce que ça donne…Je suis resté toute l’après midi ça regarder ça tourner et tourner…
Puis viennent enfin les objets dessinant, finalement bien trop lourds pour la taille de la maquette… Il faut trouver des stylos légers… Hi pas de problème, j’ai pris une plume de stylo-plume (à l’ancienne), une cartouche d’encre au cul… et c’est parti… un truc tout léger !!!
Au fur et à mesure du dessin, il m’est alors apparu plus intéressant de créer une tension dans l’objet, celui-ci dissipant alors l’énergie du vent en trait de dessin. Un trait hésitant, plein de tension !
A chaque démarrage de mon ordinateur (a froid), et si je suis assez rapide, mon ordinateur me fournit une belle image de bug !
Du coup j’ai fait un petit générateur de bug graphique… Histoire de m’en amuser… !
Venderdi 02 Février 2007
Workshop GaMe, Jeu vidéo <-> réalité
Artiste invité : John Klima
Le wokshop promet d’être intéressant, interfacer un jeu vidéo avec la réalité. Il faut voire cela en 3 parties ; le contrôleur de jeu (clavier, souris, capteur divers), le jeu vidéo (univers virtuel), un objet robotisé (une représentation du virtuel dans le réelle). Le tous en Wifi… hiHi…
Le workshop a commencé Mercredi avec une présentation de John Klima et de son travail (qui déchire plus que son site…) Bref, c un bourrin… Du coup il nous a montré Torque Game Engine, un puissant outils d’édition de jeux vidéos. Du coup on est aussi passé a Blender…
En 3 jours j’ai vu pas mal de trucs… Maintenant il me reste a réfléchir ce week-end sur ce que je vais faire… C’est quand même balaise…
J’ai plein d’idée, mais je cherche à trouver un lien avec mes objets dessinants… Un jeu vidéo dessinant dans la réalité…
Le wokshop promet d’être intéressant, interfacer un jeu vidéo avec la réalité. Il faut voir cela en 3 parties ; le contrôleur de jeu (clavier, souris, capteurs divers), le jeu vidéo (univers virtuel), un objet robotisé (une représentation du virtuel dans le réel). Le tout en Wifi… hiHi…
Ce dont EasyDesign parle, est cette imitation insensée, d’une vie insensée. Une ritournelle ingénieuse à ne rien dire. Habile à tromper une heure l’ennui par le reflet du même ennui. Cette imitation qui est la critique du présent et le faux témoin de l’avenir, qui par beaucoup d’algorithmes et de grands calculs, ne fait que se consumer en amassant des images que le temps emporte.
Que faudrait-il prouver par des images ? Rien n’est jamais prouvé que par le mouvement réel qui dissout les conditions existantes. C’est à dire : l’organisation des rapports de production d’une époque et les formes de fausses consciences qui ont grandit sur cette base.
Les images existantes ne prouvent que les mensonges existants.
Les codes représentés sont des pierres dont est bâtit tout l’édifice. On y retrouve rien d’autre que les principes du graphisme, mais sur une scène plus spacieuse, et plus mobile, et dans des environnements plus directement sensibles.
Il n’est pas question de supprimer l’auteur, de l’automatiser comme on dit, dans une configuration ordonnée, qui jouerait le jeu de la compréhension réglée et de la participation. Non ! Toute expression artistique cohérente exprime déjà la cohérence du passé. Il convient de détruire la mémoire dans l’âme. De ruiner les conventions de sa communication. De démoraliser ses amateurs.
Quel travail !…
Car c’est une société et non une technique qui a fait le graphisme ainsi. EasyDesign aurait pu être examen historique, théorique, essai, mémoire. Il aurait pu être le travail que je fais en ce moment. C’est un travail qui se fige mais ne s’achève pas. Toutes les conclusions sont encore à tirer. Les calculs à refaire. Le problème continue d’être posé. Son énoncé se complique. Il faudra recourir à d’autres moyens !
HyperFolder
Le concept est simple, un outil permettant de simplement et rapidement créer des arborescences en rhizome, dynamique et disponible en java donc visible sur le net. Il existe déjà un outil que j’affectionne http://hypergraph.sourceforge.net, Valence de Ben Fry, Misma du collectif 1.0.3, visualcomplexity…
Mais alors quel intérêt de refaire un autre hypergraph ?
Disons, que je ne souhaite pas faire simplement pareil, et c’est un très bonne exercice, non ?.
Mais pensons d’abord cette outil à titre personnel,
J’aimerais ainsi pouvoir faire une carte de mes disques durs. Un programme automatique de rendu multiple de ma machine. Il est important de préciser que la machine ici, ce présente plutôt comme mon atelier, l’architecture de mon travail, de ma vie, de mes loisirs musicaux et vidéos. Un ensemble figé de petites parties de moi, dissolu et agencé en rhizome sur un support magnétique.
La représentation doit être pictural, voire abstraite…
Ma basse de donné comme vecteur d’un rendu plastique… !!!