http://www.ecole-art-aix.fr/article4089.html
Le mur communicant est un dispositif collectif d’exploration et de découverte. Il s’agit d’un grand écran interactif. Grâce à son système de capture « multi-touch » on peut littéralement toucher l’image et en modifier ainsi son contenu. Le mur récolte des informations depuis de multiples sources (téléphone, Internet, capture vidéo, borne de saisie, etc) et les re-transforme en des visualisations tactiles. De cette façon le mur n’est pas hermétique ; au contraire il s’agit d’un carrefour d’informations, d’une carte temps-réel qui simplifie et rend tangible certaines informations et relations complexes (locales/globales) qui seraient trop difficiles à représenter sur l’espace réduit d’un ordinateur personnel ou d’un ordinateur de poche (smartphone). C’est un mur/écran urbain, qui crée des relations informationnelles adaptées à l’échelle du corps humain et qui relie des corps à leurs territoires.
Ici, j’ai fait une recherche sur un lecteur de flux rss… Il s’agit de permettre a toute institution de pouvoir s’approprier le mur multitouch et de pouvoir facilement mettre a jour les données. Ainsi un simple blog fournissant un flux rss permet de visualiser ces informations sur le mur.
D’un point de vue conceptuel, il s’agit de plier et replier les “colonnes” du flux qui sont ici classé par année (mai peuvent l’être par tag).
Il s’agit néanmoins d’une maquette (fait dans la semaine), que j’aimerais beaucoup poursuivre plus amplement !
Saturant la ville, la signalétique est un dispositif informatif fonctionnant par protocoles et générant des automatismes chez les usagers.
Il s’agit ici de perturber ces habitudes de comportements et de modifier les interactions entre le spectateur et la ville par des interventions sur les feux de signalisation routière, créant ainsi des espaces à la fois absurdes, énigmatiques et décalés.
En jouant avec la symbolique colorimétrique et rythmi-
que des feux de circulation, on découvre à chaque croisement une nouvelle configuration, absconse d’un point de vue fonctionnel mais porteuse de situations surprenantes et signifiantes.
LandScape landscape = setLandScape();
Atmosphere air = setAtmosphere();
Sun sun = new SunSet();
Sky sky = setSky();
Love myGirl = Me.getMyLove();while(sun.isAvailable){
Une lente plongée vers le monochrome. La proposition de NNL-CS est celle d’une traduction de la définition d’un paysage. Ici présenté sous forme de jeu vidéo où le gameplay est l’errance, le projet, à mon sens, est une recherche de l’essence du paysage et donc de sa propre disparition.I
l n’y a pas de progression vers l’abstrait dans NNL-CS, on ne revient pas en arrière, la question posée et l’esthétique de base relève directement de l’abstrait.
L’abstraction comme environnement.L’interactivité ne rend pas modelable l’environnement, elle le rend changeant, elle donne la possibilité à une bichromie d’une simplicité minimale de changer tout le temps; la rapprochant du virtuel.
L’idée impossible de neverneverland est que l’on peut “simuler” , et en ce sens expérimenter l’idée la plus basique d’un paysage.Le procédé agit ainsi non pas comme révélateur d’espace, mais bien comme une sorte d’anti-espace, un piège de simplicité. Le but du jeu serait alors de percer l’architecture de ce non-espace est ainsi de traduire le jeu lui-même.
Je pense voir là la zone d’existence de neverneverland, une petite structure en surfaces et en couleurs, fragilement assemblée, toute proche du vide.
Exposition N-1
du 15 au 30 Novembre
Bat 335, Rue remy Annino
72000 ST-ETIENNE FRANCE
«Le mot n’était pas Nerverland.
Le mot était Nevernerverland.
Nerverneverland était l’endroit où allaient les garçons perdus.
Pas Nerverland, mais Neverneverland.» Bret Easton Ellis
382 756 File&folder on my hard drive has been push in the graphic card (all the universe is build in 2 m)
Reste to explore my drives with a free camera…beautifull !
Fantastic book…
It’s a history of computing design starting at the begining… giving great traces of history with pioneer interviews, meaning, pictures…
It’s give with a great dvd where you find sumury of the book, and you get the video of the interview… (realy great for students…)
Do you know the mouse was designed to follow curved walls (architecture) and calculed distance ?! haaaahaaaaa !!!! coool…. !
Les artistes: Alan Vega, Antony, Bent van Looy (Das Pop), Bianca Casady (Cocorosie), Brian Eno, Chicks on Speed, David Byrne, Devendra Banhart, Fischerspooner, Jonsi Birgisson (Riceboy Sleeps), Kembra Pfahler, Kyle Field, Laurie Anderson, Miss Kittin, Nick Zinner (Yeah Yeah Yeah’s), Patti Smith, Pete Doherty, The Kills, The Residents et Yoko Ono !
Festival Arts vivants et nouvelles technologies
Saint-Médards-en-Jalles www.carredesjalles.org
La place de l’Homme, par ses nouveaux prolongements technologiques et par sa situation au sein d’un monde globalisé, est en pleine mutation.
Nombreux sont les artistes à s’emparer de cette problématique, un certain nombre en utlisant les nouvelles technologies au coeur de leur propos et de leur écriture scénique.
Pendant 5 jours, des spectacles hybrides, des performances étonnantes et des installations multimédias ludiques envahiront tous les espaces du Carré des Jalles de 18h à minuit.
LES INSTALLATIONS
> PRÉSENCE de Tino Toneloto / Cie Miror > installation intéractive / performance > LE NHILOGLOSSAIRE de Grégoire Lauvin et Pascal Chirol
d’après l’ouvrage de Stefan Ansermet > DYPTIQUE MULTIMÉDIA résultant du Parcours danse et multimédia > A BAND IN A PHONE clip du concert de Zita Swoon
au Carré des Jalles le 21 mars 2008 capté par téléphones portables. > LE POTAGER USB de Maël Le Mée > LES MECANIQUES POETIQUES d’Ez3kiel > “MOVING BY NUMBERS” de Wolf Ka
A web-site will show “Hyperonym” as the month’ work.
So I build a new version of Hyperonym.
I include a camera tracker folder and some graphical user options.
However it is always a research version
(with some bugs, i think), but try to have fun !
http://www.observatoire-critique.org/oeuvre.php3
Processing, Creative Coding and computation Art
Ira Greenberg
Trés bon livre avec un trés bonne introduction sur l’histoire de l’art numérique.
Une approche en douceur du code avec des contenus poussés. Des exemples des formules mathématiques les plus courrantes (je vais enfin arrêter de m’arracher les cheuveux sur des cosinus).
Je regrette néanmoins une petite approche java pour aller encore
plus loin !
Processing, A Programming Handbook for Visual Desingners and Artists
Casey Reas & Ben Fry
Moins interressant que celui de Ira Greenberg, il va moins loin dans la complexité du code. De nombreux vocabulaires sont oubliés. Presque aucune référence à l’histoire de l’art.
Cela ressemble à du copier-coller des références du site processing.
Le seul petit plus serait une approche de l’éléctronique et de Arduino, mais cela reste trop faible pour être interressant.
Je suis deçus !
Visualizing Data
Ben Fry
Celui-ci ne rigole pas ! Déconseillé au débutant, car il n’y a aucune introduction au code.
Le livre traite essentiellement de représentations de données entre elles.
Très intéressant.
Cela ressemble néanmoins a de la glorification de projet personnel. Regardez comme je suis fort, mais qui n’a pas révé de voir les codes source de “Ben Fry” !?
Physical Computing
Dan O’Sullivan
Une approche très en douceur de l’électronique jusqu’à un niveau poussé.
Dommage que les codes soient essentiellement en basic avec des microcontroleurs.
Excellent !
Making Things Talk
Tom Igoe
Bon livre, je regrette le manque d’explications sur le pourquoi du comment on fait comme cela ainsi que de références à l’histoire de l’art.
Néanmoins, son atout est de parlé essentiellement en arduino. Il devient alors un complément indispensable à “Physical Computing” qui fait de ces deux livre une mine d’or !
L’installation interactive à l’invitation du cabinet des expériences de lux, « Pop up », de Yannis Pérez, Pascal Chirol et grégoire Lauvin, propose une expérience interactive de l’éblouissement…
…
L’installation est une représentation simplifiée à son maximum d’un espace sensible : l’horizon, le ciel et le soleil. L’installation est intéractive avec le public ; en fonction de la position d’un visiteur dans l’espace, le soleil brille différement. Plus l’on se rapproche du soleil, plus il nous aveugle.
…
… Journal_du_lux°_78.pdf Dossier de l’installation.pdf
Grégoire Lauvin, sound and bio artist, and Pascal Chirol, programmer artist, recently graduate at the “Ecole Supérieure d’Art d’Aix en Provence“.
Invited by “Seconde Nature”, a festival of art dedicated to new media and electronic arts, they colaborate to bring an original show, where new technologys mixed with humour and art.
Pascal Chirol creations involved software art and net art. He is as well interseted in robotics and works with Grégoire Lauvin, who experiment interactions between electronic systems and alive organism like vegetals. The result of their collaboration is surprising realisations totaly un-seen in contemporany art.
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/////////////////////////////////////////////////////////////////// WIND DRAWS
Pascal Chirol http://updatepixels.net
The installation here, is a wind space made of 15 fans in circle.
Some drawing object is use like « Analogic Reactif Protocol », something like a boat “sailing pen”, which is drawing on a paper pushed by the wind.
The fans are controled by a software I build in Processing (project : Wind Earth) and a microcontroler. So, every fan is blowing world wind from data network, using the datas to make a live analogic randomnes.
This installation is asking the question of artist creation and is action.
Where take place author & creation ? How art is build ?
Which are the borders of art : How are they given ? by who ?
BioOsc is a sound generative installation that use plants as electronic parts.
The sound produce is generated by sixteen basic oscillators. But, each of them is pluged to a couple a leaf who act like emectronic parts, and so tune the fraquency.
As the leafs get dry, the sound change and slowly die.
The sound change very slowly over time, sometime quick enouth to be ear.
The piece is over when all of them are dead, and the sound is barely audible, the pitch getting higher.
The time of this process depend of the type of plants used, the weather condition, ect.
Because the system is very sensitive, when somebody touch the leaf, it cause the tune to change, allowing visitor to play and interac directly with the piece.
The purpose is to made a technologic system and alive things work together, porducing an original sound, and opening new area for bio-art.
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/////////////////////////////////////////////////////////////////// Hyperonyme (work in progress)
Pascal Chirol http://updatepixels.net
An “Hypernymy” is the semantic relation from a word to another, the first one, more general, include the extention of the second one, more specific, in the relation of class tu subclass.
The first one is so the hypernym of the second one.
This software generate graphic representation of the internal folders and files structure of an hard drive.
It is important to mention that the amont of datas on the hard drive is taken as several different parts disolve one the magnetic substrac. The graphic representation is so more an graphic interactivity than a alternative navigation.
A work in progress to get an other visual of my computer data.
I’m working on Hard Drive representation for two weeks with processing (extend of my HyperFolder work). I built something like a scanner which is reading the structure of your folders and files, and I want to build an abstract representation of this architecture, to have an image of my computer, my virtual workspace. And maybe, later some image of your workspace (please send me capture, i will show them in exhibition)But there is a lot of possible representations, and I decided to build a flower tree for “Seconde Nature” exhibition in September at Aix-en-Provence.
I will have to work more on this project, but now, I have something to show…
Maybe, later, i will build a 2D representation for interactive way in your hard drive, because i don’t understand why there is nothink like science fiction on my OS. (and i can’t build interactivity in 3D)
Je tiens à annoncer l’obtention de mon DNSEP
(Diplôme National Supérieure d’Étude Plastique)
Mon champ de réflexion et d’expérimentation trouve son point de départ dans un questionnement du graphisme. Mais la notion de graphisme doit être comprise ici davantage comme un univers de potentialités que comme un espace déterminé par des contraintes sociales, professionnelles ou de communication. Ici, le graphisme est une façon de développer une pratique artistique multiforme, c’est un vocabulaire dont l’usage peut s’étendre indéfiniment, un mode d’action dont le terrain de jeu s’égaye sur les territoires les plus divers.
Mes préoccupations tournent essentiellement autour des questions de générativité. Et cette fois encore la notion de générativité doit être comprise de façon large, incluant à la fois des programmes génératifs et des situations bricolées où les tourbillons du vent, qu’il soit naturel ou artificiellement produit par des ventilateurs, génèrent à l’envie du dessin. La générativité est alors moins un enjeu technologique qu’un champ d’expérimentation ironique et critique.
Il s’agit d’inventer des situations et de se laisser surprendre par ce qui en sortira, entre calcul et humour. Il s’agit aussi d’interroger le geste artistique et le place de l’auteur. Les propositions sont nombreuses et inventives et les terrains qui sont investis vont du site web à l’affiche, de l’installation à l’intervention dans l’espace public, de la programmation au dessin à la plume.
Même s’il se trouve que c’est un gobelet en plastique qui tient la plume.
Le Flash Festival au centre Pompidou, une des seules et des plus grande manifestations Françaises dédiées à la présentation d’oeuvres numériques sur le net, nous a encore une fois montré qu’il valait mieux faire démonstration des qualités du dernier logiciel Adobe, plutôt que de parler de ce qui se passe réellement sur le net, et des questions qui dépassent cette société du spectacle.
Il me semblait que les arts numériques en avaient définitivement fini avec les crétins du genre “Nous sommes cool, et internet est un bon moyen de se faire sucer partout dans le monde”.
Une interactivité pour elle-même n’engage qu’à la masturbation, qu’elle soit pseudo poétique ou purement technique. On se retrouve alors dans un système dépourvu de pensée, libre de sens et prêt à oublier.
Le grand prix de cette année, “Remake” faussement interactif et franchouillard de “Six Feet Under” mène simplement vers la misère symbolique d’une pseudo interactivité linéaire et narrative.
Un autre lauréat nous a aussi démontré la puissance de la technique du copier/coller, pour un résultat façon “Yugop”, suivie de la scandaleuse déclaration “Je n’ai rien à en dire, je vous montre”.
Voilà comment un système propriétaire formate la pensé en technique et rend aveugles ces croyants.
Mes yeux sont fatigués, la question du beau a déjà était détruite par Duchamp.
Et on nous prend tellement pour des cons, au point de présenter une performance interactive, ou l’interactivité c’est Quick Time qui joue une vidéo et les musiciens de la flute à bec.
C’est une grande mascarade et une évidente honte à l’art au coeur même de son institution.
Mon champ de réflexion et d’expérimentation trouve son point de départ dans un questionnement du graphisme. Mais la notion de graphisme doit être comprise ici davantage comme un univers de potentialités que comme un espace déterminé par des contraintes sociales, professionnelles ou de communication. Ici, le graphisme est une façon de développer une pratique artistique multiforme, c’est un vocabulaire dont l’usage peut s’étendre indéfiniment, un mode d’action dont le terrain de jeu s’égaye sur les territoires les plus divers.Mes préoccupations tournent essentiellement autour des questions de générativité. Et cette fois encore la notion de générativité doit être comprise de façon large, incluant à la fois des programmes génératifs et des situations bricolées où les tourbillons du vent, qu’il soit naturel ou artificiellement produit par des ventilateurs, génèrent à l’envie du dessin. La générativité est alors moins un enjeu technologique qu’un champ d’expérimentation ironique et critique.
Il s’agit d’inventer des situations et de se laisser surprendre par ce qui en sortira, entre calcul et humour. Il s’agit aussi d’interroger le geste artistique et le place de l’auteur. Les propositions sont nombreuses et inventives et les terrains qui sont investis vont du site web à l’affiche, de l’installation à l’intervention dans l’espace public, de la programmation au dessin à la plume.
Même s’il se trouve que c’est un gobelet en plastique qui tient la plume.
J’ai bien avancé l’interface en processing, pas mal de problèmes malgré tout. Mais le rendu graphique est vraiment intéressant… Au début je cherchais à utiliser une map monde vectorielle… Mais une fois tous les points des 4421 stations météo posés suivant leurs latitude / longitude le résultat est suffisant.
Cette application que j’ai programmé, je vais la relier à mes ventilos pour leur fournir un random analogique temps réel.
Hihihiiii… trop bien….
En plus, je me suis bien fait chier pour que ça soit stable…
Bon j’ai encore un peu de travail graphique à faire… mais c’est déjà pas mal & sobre, il me semble ?
Bientôt des versions téléchargeables !
Semaine très chargée avec les diplômables… En tous cas ça s’est bien passé, j’ai encore besoin de travailler la mise en espace… Bien sûr également je dois finir mes programmes surtout -Wind Earth - (dont je posterai bientôt un truc ).
DDD : Exposition Lux. Scène nationale de Valence 28 mars -16 avril AAA : Colloque & Exposition École régionale des beaux-arts deValence
28 et 29 mars.
Le design graphique peut être défini comme le traitement formel des informations et des savoirs. Le designer graphique est alors un médiateur qui agit sur les conditions de réception et d’appropriation des informations et des savoirs qu’il met en forme. Intervenant dans un maillage complexe de relations — tissées notamment entre un lieu et son environnement, les informations et les médias, l’actualité et l’histoire, le commanditaire et les destinataires —, le designer opère du même coup sous une certaine menace, celle de son instrumentalisation, de sa réduction à la stricte codification des normes et des discours dominants. C’est pour mettre au jour et déjouer cette menace que plusieurs designers signèrent en 2000 le manifeste First Things First (D’abord l’essentiel) qui préconisait l’invention de‘formes de communication plus utiles, plus durables et plus démocratiques’. Dans le sillage de ce manifeste, ce colloque envisagera le design graphique comme un projet aux dimensions pragmatique, éthique et politique, en dialogue constant avec la pensée théorique et critique. Son ouverture internationale est à cet égard essentielle: la Hollande, la Suisse, les États-Unis, d’où sont issus plusieurs intervenants, sont parmi les pays où le design graphique est intégré dans la culture et, en particulier, dans celle des commanditaires. À ce titre, les designers graphiques invités constituent des références avec lesquelles il est possible d’enrichir une réflexion qui semble émerger en France.
Avec:
Madeleine Aktypi, Pierre Bal-Blanc, André Baldinger, Max Bruinsma, Anne-Marie Christin, Laurent Fétis, Luc(as) de Groot, Laurent Gutman,
Pierre-Damien Huyghe, George Legrady, Giovanni Lussu, Armand Mevis,
Philippe Millot, François Rappo, Monique Sicard, Catherine de Smet, Gerard Unger, Vier5.
Après 2 semaines de boulot intensif avec Yannis sur EasyDesign, puis une bonne semaine de fignolage perso… Nous y voilou enfin …
Je pense pouvoir dire que c’est enfin fini, mais je n’arrive pas a y croire… je bosserais encore et encore dessus, surtout que j’ai prévu de faire une version Processing cette été (de belle vacance en prévision…)Bref, j’invite a aller sur easydesign.fr
Les premiers essais de mes ventilos se montrent assez concluants pour une maquette… Après avoir soudé et préparé tout ça… Je suis enfin passé à l’amusement… Et voilou ce que ça donne…Je suis resté toute l’après midi ça regarder ça tourner et tourner…
Puis viennent enfin les objets dessinant, finalement bien trop lourds pour la taille de la maquette… Il faut trouver des stylos légers… Hi pas de problème, j’ai pris une plume de stylo-plume (à l’ancienne), une cartouche d’encre au cul… et c’est parti… un truc tout léger !!!
Au fur et à mesure du dessin, il m’est alors apparu plus intéressant de créer une tension dans l’objet, celui-ci dissipant alors l’énergie du vent en trait de dessin. Un trait hésitant, plein de tension !
A chaque démarrage de mon ordinateur (a froid), et si je suis assez rapide, mon ordinateur me fournit une belle image de bug !
Du coup j’ai fait un petit générateur de bug graphique… Histoire de m’en amuser… !
Venderdi 02 Février 2007
Workshop GaMe, Jeu vidéo <-> réalité
Artiste invité : John Klima
Le wokshop promet d’être intéressant, interfacer un jeu vidéo avec la réalité. Il faut voire cela en 3 parties ; le contrôleur de jeu (clavier, souris, capteur divers), le jeu vidéo (univers virtuel), un objet robotisé (une représentation du virtuel dans le réelle). Le tous en Wifi… hiHi…
Le workshop a commencé Mercredi avec une présentation de John Klima et de son travail (qui déchire plus que son site…) Bref, c un bourrin… Du coup il nous a montré Torque Game Engine, un puissant outils d’édition de jeux vidéos. Du coup on est aussi passé a Blender…
En 3 jours j’ai vu pas mal de trucs… Maintenant il me reste a réfléchir ce week-end sur ce que je vais faire… C’est quand même balaise…
J’ai plein d’idée, mais je cherche à trouver un lien avec mes objets dessinants… Un jeu vidéo dessinant dans la réalité…
Le wokshop promet d’être intéressant, interfacer un jeu vidéo avec la réalité. Il faut voir cela en 3 parties ; le contrôleur de jeu (clavier, souris, capteurs divers), le jeu vidéo (univers virtuel), un objet robotisé (une représentation du virtuel dans le réel). Le tout en Wifi… hiHi…